Début du contenu principal.
Le nombre de victimes palestiniennes s'élève désormais à au moins 50 810 morts depuis le début de la guerre.
Les corps de 58 personnes tuées par des frappes israéliennes ont été transportés dans les hôpitaux de Gaza au cours des 24 dernières heures, selon le ministère local de la Santé.
Les hôpitaux ont également reçu 213 blessés, a indiqué le ministère de la Santé de Gaza dans son bilan quotidien, mardi.
Le nombre de victimes palestiniennes s'élève désormais à au moins 50 810 morts depuis le début de la guerre. Plus de 115 000 personnes ont aussi été blessées, selon le ministère.
De ces victimes, 1499 ont été tuées depuis qu'Israël a repris la guerre le mois dernier, rompant un cessez-le-feu qui avait pris effet en janvier.
Le ministère de la Santé de Gaza ne fait pas de distinction entre les civils et les combattants dans son décompte, mais il affirme que plus de la moitié des personnes tuées étaient des femmes et des enfants.
Par ailleurs, un photojournaliste palestinien qui avait été blessé lors d'une frappe israélienne sur une tente de médias installée à l'extérieur d'un hôpital est décédé.
Ahmed Mansour a été gravement brûlé lors de l'attaque survenue lundi matin, selon l'hôpital Nasser de la ville de Khan Younis, dans le sud du territoire.
L'attaque a tué deux autres personnes, dont un autre journaliste, et blessé cinq reporters.
Selon l'armée israélienne, la cible de la frappe était un militant du Hamas qui se faisait passer pour un journaliste. Il faisait partie des blessés.
Israël a promis d'intensifier la guerre jusqu'à ce que le Hamas libère les otages restants, se désarme et quitte le territoire. Le groupe détient toujours 59 captifs, dont 24 seraient encore en vie.
La guerre a commencé lorsque des militants dirigés par le Hamas ont pris d'assaut Israël le 7 octobre 2023, tuant quelque 1200 personnes et en prenant 251 autres en otage.