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Société

Des interpellations de la police perçues comme «discriminatoires», selon une étude

«Dans 30 % des interpellations, la personne croit que son identité ou son apparence est l'une des raisons pour lesquelles elle a été interpellée. C'est assez marquant», affirme l'une des chercheuses, Carolyn Côté-Lussier, professeure à l'INRS.

Environ le tiers des personnes interpellées par les forces de l'ordre à Montréal estiment que l'intervention était en lien avec leur apparence ou leur identité, selon une nouvelle recherche venant ainsi soutenir les perceptions d'un profilage racial et social dans la pratique policière, et qui montre aussi une surreprésentation des personnes LGBTQ+.