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Elle affirme que la fermeture des ports canadiens alimenterait l'inflation, augmenterait les coûts pour les particuliers et les entreprises et nuirait gravement à l'économie.
La Chambre de commerce du Canada se dit «profondément troublée» par le fait que le syndicat des travailleurs portuaires de la Colombie-Britannique ait déposé un préavis de grève et soit prêt à débrayer dès samedi.
La chambre a publié une déclaration exhortant le gouvernement fédéral à «utiliser tous les outils de sa boîte à outils» pour empêcher une grève.
Elle affirme que la fermeture des ports canadiens alimenterait l'inflation, augmenterait les coûts pour les particuliers et les entreprises et nuirait gravement à l'économie.
Les ministres fédéraux et le premier ministre de la Colombie-Britannique David Eby ont appelé les travailleurs portuaires et les employeurs à trouver un moyen d'éviter les grèves.
L'avis de grève, publié mercredi par l'International Longshore and Warehouse Union Canada, touche environ 7400 chargeurs de terminaux et 49 des employeurs riverains de la province aux plus de 30 ports en Colombie-Britannique, dont le plus achalandé du Canada, Vancouver.
La sous-traitance, l'automatisation des ports et le coût de la vie sont les principaux enjeux.
Les négociations entre l'International Longshore and Warehouse Union Canada et la BC Maritime Employers Association ont commencé en février dans le but de parvenir à un accord avant l'expiration de leur contrat à la fin mars.
Les deux parties se trouvaient en période de réflexion, mais celle-ci s'est terminée le 21 juin, après l'expiration de la précédente convention collective le 30 mars.
Les membres du syndicat ont voté à 99,24 % pour une grève au début du mois.