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À travers cette entente confidentielle, les parties font un pas de plus vers la reconnaissance de l'existence d'une relation fondée, entre autres, sur le Traité huron-britannique de 1760, dit-on.
«Il s'agit d'une occasion importante de bâtir une relation plus solide et de soutenir la Nation dans son travail pour réaliser l'autodétermination et mettre en œuvre ses droits inhérents», a souligné le ministre des Relations Couronne-Autochtone, Marc Miller.
Cela permettra notamment d'accélérer les discussions dans plusieurs dossiers jugés prioritaires.
«Il y a des points de développement économie, de culture, de langue, de patrimoine et de territoire», a fait savoir Rémy Vincent, le grand chef de la Nation huronne-wendat.
Voyez le récapitulatif de Mathieu Boivin au bulletin Noovo Le Fil Québec.