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Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) affirme que des menaces ont été proférées à l'encontre des organisateurs du Festival Metro Metro et de l'événement lui-même.
Un festival de musique en cours durant la fin de semaine, à Montréal, a failli perdre son permis d'alcool en raison de problèmes de sécurité.
Ceci est une traduction d'un article de CTV News Montreal.
Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) affirme que des menaces ont été proférées à l'encontre des organisateurs du Festival Metro Metro et de l'événement lui-même.
L'événement de trois jours, qui a débuté vendredi au Parc olympique, présente certains des plus grands noms du hip-hop, dont Lil Wayne, Jack Harlow et Lil Baby.
Le même jour, une audience d'urgence a eu lieu devant la Régie des alcools, des courses et des jeux du Québec (RACJ) car la police souhaitait révoquer le permis d'alcool du festival.
Selon des documents obtenus par CTV auprès d'un avocat de la Régie des alcools, deux sources avaient informé la police de menaces persistantes contre l'un des organisateurs du festival.
La police a également déclaré que des menaces avaient été proférées à l'encontre du festival lui-même.
Finalement, Metro Metro a réussi à conserver son permis, permettant au spectacle de se dérouler comme prévu.
Dans une déclaration à CTV News, la Régie des alcools affirme: «Nous avons délivré un permis pour le Festival Metro Metro [...]. La police n'a pas émis d'objection.»
Cependant, un porte-parole de la Régie des alcools indique que la police s'est opposée uniquement après avoir reçu des informations sur les menaces le lendemain.
Le SPVM soutient que des agents sont présents au festival pour aider à assurer la sécurité, mais n'a pas confirmé s'il y en avait davantage en raison des menaces.
Un porte-parole du festival n'était pas disponible pour commenter.