Début du contenu principal.
Une promesse du candidat dans Rouyn-Noranda-Témiscamingue, Jean-François Vachon.
Le candidat péquiste dans le comté de Rouyn-Noranda-Témiscamingue estime qu'il est temps de redonner confiance à la population de l'Abitibi-Témiscamingue ainsi que de la protéger.
Au-delà de la situation de l'arsenic à Rouyn-Noranda, Jean-François Vachon cite aussi la Ville de Témiscaming qui est également aux prises avec un problème de qualité de l'air.
Entre 2012 et 2020, la présence de particules fines a dépassé les cibles de l'Organisation mondiale de la Santé à cinq reprises.
Ainsi, pour protéger la population témiscabitibienne, le candidat propose un plan composé de quatre axes, le premier étant la transparence.
«Au Parti québécois, c'est le temps de s'engager et d'arrêter de gérer simplement en regardant les médias. Il y a un enjeu de connaître et d'être transparent avec ce qu'il se passe au niveau de la qualité de l'air. Avoir un réseau de mesures des métaux lourds près des grandes industries est quelque chose d'important pour être en mesure de tracer les polluants dans l'atmosphère [...] pour s'assurer qu'on ait un air décent, autant à Rouyn-Noranda qu'à Témiscaming dans la circonscription.», estime le candidat.
Les trois autres points centraux de son plan touchent l'expertise et l'innovation, la veille scientifique et l'ajustement des exigences ainsi que le contrôle et les pénalités.
D'ailleurs, concernant le gouvernement qui donne cinq ans à la Fonderie Horne pour réduire ses émissions d'arsenic dans l'air de Rouyn-Noranda à 15 nanogrammes par mètre cube, Jean-François Vachon voit là un manque d'ambition.
Le candidat juge beaucoup trop longs les délais et il critique l'absence d'un plan visant l'atteinte de la norme québécoise de trois nanogrammes par mètre cube.
À lire également :