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Un pas dans la bonne direction, estime l'organisation.
Alors que les réactions sont pour la plupart défavorables à la proposition de Québec de réduire à 15 nanogrammes les émissions d'arsenic de la Fonderie Horne, la Chambre de commerce et d'industrie de Rouyn-Noranda (CCIRN) se dit pour sa part favorable à l'idée.
L'organisation estime que de réduire de 85% les émissions atmosphériques de l'usine d'ici cinq ans est un pas dans la bonne direction.
Avec l'expertise et les ressources financières dont Glencore dispose, la CCIRN a confiance que l'entreprise va réussir cette transition.
Un seuil d'émission atmosphérique d'arsenic fixé à 15 ng/m3 aura pour effet de protéger les personnes les plus vulnérables comme les femmes enceintes et les enfants à naître, selon une étude réalisée par l'INSPQ.
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Les dirigeants de la Fonderie Horne dévoileront jeudi à 10h le plan d'action qui devrait permettre à l'entreprise de réduire ses émissions atmosphériques.
Le dévoilement de ce plan d'action, fortement attendu, aura lieu à Rouyn-Noranda en présence de Claude Bélanger, Chef des opérations de cuivre de Glencore en Amérique du Nord, Donald Piché, Directeur de l’ingénierie, des services techniques et Marie-Élise Viger, Première responsable environnement.
Dans un communiqué envoyé aux médias, la direction de la Fonderie Horne précise que «d’importants détails seront dévoilés». En début de semaine, l'entreprise a affirmé que ses équipes travaillaient «sur un projet de transformation majeur».
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