La formation a été créée sur mesure pour les communautés d’Odanak et de Wôlinak.
«Traditionnellement, nous faisions affaire avec des boucheries à l’externe, mais plusieurs ont fermées, donc on s’est retrouvé devant un choix, soit de développer de nouveaux partenariats ou de se réapproprier l’ensemble de la chaîne», a expliqué Samuel Dufour-Pelletier, directeur du Bureau de l’Environnement d’Odanak.
La formation de 167 heures a été offerte à sept participants.
Outre la boucherie de viandes sauvages, comme le chevreuil et l’ours, la formation comprenait aussi des notions pour la boucherie conventionnelle (porc, bœuf) et sur la façon d’apprêter le poisson.
Les détails dans le reportage de Frédérique Bacon.