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«Je n'y comprends rien.»
En août 2024, Peter Malko raconte que 20 centimètres d'eau ont inondé le sous-sol de sa maison de Pierrefonds.
«Je me suis dépêché de commencer à déplacer autant de choses que possible, mais tous les dégâts étaient déjà faits. Je ne faisais que déplacer des boîtes mouillées, des jouets mouillés, des meubles mouillés», a déclaré M. Malko.
Ce texte est une traduction d'un contenu de CTV News.
Il a fini par contacter sa compagnie d'assurance, Beneva, qui lui a accordé une avance de 4 000 $. M. Malko a également déposé une demande d'indemnisation pour les objets perdus. « Tout ce qui a été endommagé, les meubles, les jouets, les effets personnels, tout ça. Nous avons envoyé le dossier et avons entamé la procédure pour qu'ils calculent les indemnités. »
Beneva lui a envoyé plus de 13 000 $.
M. Malko dit que l'assureur s'est également chargé d'engager l'entrepreneur pour les travaux de rénovation. Une fois le travail terminé, M. Malko était soulagé.
«Tout ce processus était déjà assez stressant, et quand nous avons enfin terminé le sous-sol, je n'avais plus qu'une seule inquiétude en tête», a affirmé M. Malko.
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C'est alors qu'il a reçu une autre surprise. il dit qu'avant de clore son dossier, Beneva a exigé un remboursement de 5 450 $.
Dans une déclaration, Beneva a déclaré à CTV News : «Malheureusement, nous ne commentons pas les réclamations individuelles.»
«En tant que compagnie d'assurance mutuelle, Beneva applique une approche équitable et bienveillante à tous les contrats de ses membres. En cas de réclamation, les membres ont des options.»
Dans un courriel explicatif adressé à Malko, Beneva indique qu'elle a évalué les pertes de Malko à un total de 7 886,60 $.
L'entreprise a versé 13 336,60 $ à Malko, c'est pourquoi elle réclame la différence de 5 450 $.
CTV a contacté le Bureau d'assurance du Canada et, dans une déclaration, le bureau a indiqué: «Si, pour une raison quelconque, le coût réel des réparations est inférieur au montant de l'avance, il est raisonnable de s'attendre à ce que l'assureur cherche à récupérer la différence».
Le bureau affirme que les gens devraient documenter leur perte et demander une estimation précise.
Malko insiste sur le fait qu'il n'a pas profité de l'inondation.
«Je n'y comprends rien», a déclaré Malko. «Ce n'était pas à moi de calculer les chiffres. Nous avons fait confiance à [Beneva] pour nous donner les montants appropriés évalués, les dommages et les réclamations. En gros, nous avons laissé [Beneva] calculer le total.»