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Ces conventions, qui arriveront à échéance le 31 mars prochain, concernent plus d'un demi-million d'employés de l'État.
C'est dans un contexte inflationniste, alors que les réseaux de la santé et de l'éducation éprouvent des difficultés de recrutement de personnel, que le front commun intersyndical déposera ses demandes, vendredi, en vue du renouvellement des conventions collectives.
Ces conventions, qui arriveront à échéance le 31 mars prochain, concernent plus d'un demi-million d'employés de l'État.
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Ceux-ci, qui ont touché des augmentations de 2 % par année, en général, dans le cadre du contrat de travail 2020-2023, espèrent donc obtenir des augmentations qui maintiendront leur pouvoir d'achat, dans le contexte actuel d'inflation.
Cette fois-ci, le front commun est constitué de la CSQ, de la CSN, de la FTQ et de l'APTS (Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux).
La FIQ (Fédération interprofessionnelle de la santé), qui représente la grande majorité des infirmières, ne fait pas partie du front commun. Elle déposera ses propres demandes en novembre.
La dernière négociation, qui s'était déroulée au plus fort de la pandémie de la COVID-19, avait permis de réaliser des gains notables, parmi lesquels une reconnaissance des préposés aux bénéficiaires et un rattrapage salarial pour les enseignants du primaire et du secondaire.