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Dans les dernières années, des activités de sensibilisation et des formations ont été offertes pour prévenir le cancer chez les pompiers. Toutefois, le plus important est la décontamination de l’équipement avec un savon spécial pouvant réduire le nombre de contaminants de 85% à 90%.
«Mais ce n’est pas optimal. On sait que des particules pénètrent par des endroits plus humains [comme la sueur]», a expliqué le chef des opérations incendies de Shawinigan, Marc Parizeau.
De plus, ce ne sont pas tous les pompiers qui portent leur masque de protection dans toutes les circonstances. Les contaminants dans l’air peuvent se rendre jusqu’aux personnes, même si celles-ci se trouvent à une bonne distance du feu.
D'ailleurs, un certain changement de culture fait tranquillement son chemin dans la profession pour mettre de l'avant la sécurité des pompiers sur ces enjeux.
Voyez le reportage de Valérie Gendron dans la vidéo.