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C'est ce qu'a prévenu le directeur des communications et porte-parole de CDPQ Infra, Jean-Vincent Lacroix, au bulletin Noovo Le Fil 17.
«On est dans une période de rodage. […] Avant même de mettre en service le REM, on avait dit qu’il y aurait une période de rodage. N’importe quel réseau de transport collectif, peu importe son ouverture sur la planète, il y a toujours des ajustements comme ça. Il y a des accros qui peuvent survenir», a-t-il expliqué.
D'ailleurs, M. Lacroix soutient que cette période de rodage a pour but de régler les problèmes et surtout de ne pas les reproduire.
«Est-ce qu’on veut limiter les interruptions? Oui. Est-ce qu’on veut que ça devienne des événements isolés? Absolument. Les équipes sont sur le terrain. À chaque fois qu’il s’en produit un, le but est que ça ne se répète pas. Il faut s’assurer aussi de bien être transparent avec les gens», a-t-il indiqué en entrevue.
L'interruption de lundi matin a été provoquée par un problème d'aiguillage, un mécanisme permettant aux voitures du réseau de changer de voies, a expliqué le porte-parole du CDPQ Infra.
«On savait comment intervenir. C’est pour ça qu’on est intervenus rapidement. [...] À ce moment-là, il a fallu faire une intervention physique sur le terrain avec une équipe qui a réparé et qui a rétabli la situation», a-t-il ajouté.
Entre-temps, les usagers ont dû prendre leur mal en patience et certains n'ont vraiment pas apprécié leur expérience. Mais, une fois le problème réglé, les trains du REM ont repris du service.
«Quand on vit une interruption de service d’une heure, ça fait écho et ça frappe l’imaginaire. Mais je veux rappeler que, depuis 9h15, le REM roule», a précisé M. Lacroix. «Une centaine de personnes n’ont pas apprécié l’expérience. Mais il faut garder cet élan du REM, du transport collectif»
Voyez l'entrevue complète au bulletin Noovo Le Fil 17.