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Art et culture

Une entreprise montréalaise illumine la foule lors du Super Bowl

Dimanche soir lors du Super Bowl, les lumières portables sur chaque spectateur ont permis à chacun de faire partie du spectacle. La création de cette magie commence dans les bureaux montréalais de Pixmob.

Usher se produit pendant la mi-temps du match de football NFL Super Bowl 58, dimanche 11 février 2024, à Las Vegas.
Usher se produit pendant la mi-temps du match de football NFL Super Bowl 58, dimanche 11 février 2024, à Las Vegas.
Max Harrold
Max Harrold / CTV News

Lorsque 60 000 personnes ont chanté et dansé lors de la mi-temps au stade Allegiant dimanche soir lors du Super Bowl, les lumières portables sur chaque spectateur ont permis à chacun de faire partie du spectacle.

La création de cette magie commence dans les bureaux montréalais de Pixmob.

Ce texte est une traduction d'un article de CTV News.

«Lorsque vous illuminez un public, vous obtenez une réaction de sa part. Vous obtenez cette excitation, cette joie qui vient de la foule», explique Nicolas Coallier-Fournier, programmeur en chef chez Pixmob.

Cette technologie est utilisée dans toutes sortes d'événements en direct.

Le mois dernier, à l'Auditorium de Verdun, Pixmob a illuminé le match d'ouverture de l'équipe montréalaise de la Ligue professionnelle de hockey féminin.

Et dimanche, il a illuminé le plus grand événement sportif de l'année.

«Il y a toujours cette fierté, nous sommes une entreprise fière. Nous sommes fiers de ce que nous faisons», a déclaré Nicolas Coallier-Fournier à CTV News.

Il s'agit d'une technologie en constante évolution.

«Nous avons deux protocoles exclusifs», a-t-il expliqué. «L'un concerne les fréquences radio, c'est donc de la radio, [un] effet beaucoup plus simple, et nous avons également breveté le protocole infrarouge.»

Dans le stade, une lumière infrarouge est dirigée vers n'importe quelle partie du public, créant ainsi des formes. Les lumières portables sont attachées à des tuques, des bracelets et des badges.

Une fois le spectacle terminé, les spectateurs rendent les gadgets en partant. Ils reviendront ensuite à Montréal pour être nettoyés et recyclés.

Nicolas Caollier-Fournier est fière et humble de pouvoir apporter un peu de Montréal sur les scènes du monde entier. «Nous ne tenons rien pour acquis.»

Max Harrold
Max Harrold / CTV News