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Avant le renouvellement des autorisations gouvernementales avec l'entreprise
Un autre joueur s'invite dans le dossier de la Fonderie Horne.
Les communautés autochtones de Kebaowek, de Timiskaming et de Long Point veulent être consultées avant le renouvellement de la prochaine attestation d'assainissement entre l'entreprise et le gouvernement québécois.
Le consentement des Conseils est primordial selon eux, alors que la Fonderie Horne tient ses opérations sur un territoire traditionnel Anisinabe non cédé.
Une administratrice d'État a été nommée la semaine dernière afin de coordonner l'action gouvernementale et d'entretenir des liens avec la Ville de Rouyn-Noranda et d'autres organisations.
Les communautés exigent de faire partie de ces discussions, sans quoi il s'agirait d'une atteinte à leurs droits constitutionnels.
Une fois de plus, les autochtones se sentent mis à l'écart actuellement. Ils rappellent également que la Fonderie Horne a elle aussi un devoir d'informer dûment les Conseils de l'impact de ses activités sur la santé et l'environnement pour le bien de ses membres.
Long Point indique d'ailleurs avoir mandaté ses avocats afin d'entreprendre des démarches plus officielles.