Passer au contenu principal
À voir:

Début du contenu principal.

Politique
Chronique |

Nazi aux Communes: «les gens se sont fait tromper»

«Ça a dû lui déchirer le cœur, en plus d’être humilié publiquement.»

Le scandale causé par l’ovation accordée à la Chambre des communes à un ancien combattant ukrainien ayant servi sous les ordres nazis continue de faire couler de l’encre, et ce, malgré la démission du président de l’institution, Anthony Rota.

Cet article a été rédigé par l'équipe du pupitre numérique de Noovo Info.

Selon le collaborateur de Noovo Info Yves Boisvert, il ne faut néanmoins pas nécessairement en vouloir aux députés fédéraux, qui se sont fait «tromper», selon lui. 

Infolettre
🤑 Jour de paye
Une infolettre pour vous aider à arrondir les fins de mois sans tracas.

Voyez l'intervention d'Yves Boisvert dans la vidéo liée à l'article.

«Le président lui-même, je ne pense pas qu’il savait. Dans sa naïveté et son ignorance politique, il ne savait pas que quand tu étais en Ukraine en 1943, 1944, si tu te battais contre les Soviétiques, tu étais à peu près forcément avec les nazis», soulève Yves Boisvert.

Il était donc inévitable que M. Rota démissionne, selon le collaborateur de Noovo Info, qui rappelle que les fonctions de président de la Chambre des communes viennent avec beaucoup d’avantages.

«Peu de gens vont en politique pour devenir présidents d’assemblée, mais c’est une très belle job, rappelle-t-il. Quand tu es président de la Chambre des communes, tu as une maison de fonction, tu es en dehors des controverses, tu as tes personnels et tu reçois tes dignitaires.»

«Ça a dû lui déchirer le cœur, en plus d’être humilié publiquement.»

Voyez l’analyse complète d’Yves Boisvert dans la vidéo.