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Le premier lundi du mois de janvier est d’ailleurs surnommé «le Jour du divorce», alors que la date coïnciderait avec une augmentation des demandes de divorce.
Des avocats ont justement avoué à Noovo Info craindre un achalandage important au retour des Fêtes.
«On s’attend à ce que les gens nous contactent. On va gérer un appel à la fois», confie l’avocate en droit familial, Me Sylvie Schirm.
La présidente du Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale, Annick Brazeau, relève que certaines femmes se trouvant dans des relations abusives pourraient décider d’attendre au retour des Fêtes avant de se séparer.
«Celles qui ont des enfants ne veulent pas briser leur Noël. Celles qui sont dans la famille ne veulent pas se faire poser des questions, elles ne veulent pas que ça a l'air bizarre dans la famille. Il y en a d'autres qui espèrent aussi que la violence, c'était passager», énumère-t-elle.
Si vous avez besoin d’aide, vous pouvez visiter le sosviolenceconjugale.ca ou composer le 1-833-REBÂTIR.
Pour le reportage intégral, voyez la vidéo.