La directrice générale de l’Association des ressources intermédiaires d’hébergement du Québec (ARIHQ), Manon Charpentier, indique que l’entente qui vient de terminer avec le gouvernement a été négociée en 2020, au tout début de la pandémie et avec des conditions très différentes de celles auxquelles elles font face aujourd'hui.
«Tout ce qui s'est passé dans les années subséquentes, ç'a affecté notre réseau au niveau des coûts de patients, au niveau des coûts de la main d'œuvre, au niveau de l'affectation de nos bâtiments. Ça a eu un impact très important», souligne-t-elle.
L’ARIHQ rapporte que 5000 personnes attendent une place en RI, parmi elles, 294 en Mauricie, 179 au Saguenay et 384 en Estrie.
«On doit aussi s'attaquer à la bureaucratie parce qu'on voit des pertes de temps importantes», ajoute Mme Charpentier.
Des négociations entre les ressources intermédiaires et le gouvernement commenceront le 9 avril pour le renouvellement de leur entente.
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