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L'organisation de santé affirme toutefois que les cas urgents seront pris en charge rapidement.
En raison de la situation précaire aux niveaux de la main-d’œuvre et de l’achalandage élevé, l’Hôpital Sainte-Croix de Drummondville se voit dans l’obligation de réduire l’accès qu’aux cas urgents.
Le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de la Mauricie-et-du-Centre-du-Québec en a fait l'annonce par voie de communiqué.
Selon le CIUSSS MCQ, plus de 50 % des consultations à l’urgence sont liées à des problèmes de santé mineurs dont des maux d’oreille ou de gorge, de la toux, des infections urinaires et autres infections bénignes liées au contexte estival.
«La majorité de ces inconforts peuvent être, dans bien des cas, traités par le pharmacien ou un autre professionnel. Les personnes qui se présenteront à l’urgence en personne ou par ambulance et qui n’auront pas besoin de soins urgents ou immédiats seront réorientées systématiquement vers un pharmacien ou tout autres professionnels selon leur condition», peut-on lire dans ce communiqué.
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L'organisation de santé affirme toutefois que les cas urgents seront pris en charge rapidement.
«Une personne dans une situation critique et instable ne doit pas hésiter à se rendre à l’urgence. Nous ne voulons en aucun cas priver une personne des soins essentiels dont elle a besoin», a précisé la directrice adjointe des services ambulatoires et des soins d'urgence, Caroline Guertin.
Le CIUSSS MCQ rappelle à la population ayant des problèmes de santé non urgents d'opter pour d'autres solutions que les urgences, dont un pharmacien, le service Info-Santé, les médecins de famille et Groupe de médecine familiale (GMF) de Drummondville ou d'appeler le 811.
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