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Justice

La Commission scolaire English Montréal contestera la loi 96

Le conseil des commissaires de la CSEM estime que cette loi viole le droit constitutionnel des Québécois anglophones de gérer et de contrôler leurs propres établissements d'enseignement, a-t-on indiqué dans un communiqué de presse.

«J’étais tellement en colère. Tellement humiliée et frustrée que cela m’a pris quelques jours pour digérer cela», a déclaré Susan Starkey, âgée de 75 ans, qui croit que la nouvelle loi sur la langue du Québec, le projet de loi 96, est la raison pour laquelle l’appel a été interrompu.
«J’étais tellement en colère. Tellement humiliée et frustrée que cela m’a pris quelques jours pour digérer cela», a déclaré Susan Starkey, âgée de 75 ans, qui croit que la nouvelle loi sur la langue du Québec, le projet de loi 96, est la raison pour laquelle l’appel a été interrompu.

Source

La Presse canadienne
La Presse canadienne

La Commission scolaire English-Montréal (CSEM) contestera devant les tribunaux la «réforme de la loi 101» adoptée cette semaine au Québec.

Le conseil des commissaires de la CSEM estime que cette loi, jusqu'ici connue sous le nom de «projet de loi 96», viole le droit constitutionnel des Québécois anglophones de gérer et de contrôler leurs propres établissements d'enseignement, a-t-on indiqué dans un communiqué de presse, vendredi.

Pour les plus récentes nouvelles touchant le grand Montréal, consultez le Noovo Info.

La «Loi sur la langue officielle et commune du Québec, le français», adoptée mardi à l'Assemblée nationale, limite les inscriptions dans les cégeps de langue anglaise et oblige les étudiants de ces établissements à suivre trois cours supplémentaires en français.

La CSEM était l'un des nombreux groupes à contester aussi la loi québécoise sur la laïcité de l'État, qui interdit aux enseignants, aux policiers et à certains autres fonctionnaires en situation d'autorité de porter des signes religieux au travail.

Les deux lois invoquent déjà la disposition de dérogation de la Charte canadienne des droits et libertés, afin de les protéger des contestations judiciaires.

En avril 2021, un juge de la Cour supérieure avait invalidé les dispositions de l'interdiction des symboles religieux qui s'appliquaient aux commissions scolaires anglophones, mais en avait confirmé l'essentiel en raison de l'utilisation de cette disposition de dérogation.

À VOIR | Le combat continue pour les opposants à la loi 96

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La Presse canadienne
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