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Lundi, les syndicats ont voulu mettre en avant la composition des classes, qui est l’une des trois priorités sur la table des négociations actuellement. Ils dénoncent notamment le manque de ressources pour aider les élèves en difficultés.
«Depuis le début de la négociation et ça continue, c’est soit de prévoir ou de composer des meilleurs groupes», a fait savoir Stéphan Béland, président du Syndicat de l'enseignement des Vieilles-Forges.
Deux syndicats de l’enseignement de la Mauricie, dont 1000 enseignants du Centre de services scolaire du Chemin-du-Roy, se sont réunis à Trois-Rivières.
«On souhaite que ça bouge parce qu’en fin de semaine, on était disponible pour les négociations, mais il n’y a rien qui s’est passé. On marche au ralenti. C’est une ou deux rencontres d’une ou deux heures par semaine. On souhaite que ça avance», a expliqué Jacques Landry, président de la Fédération des professionnelles et professionnels de l'éducation du Québec.
Le Front commun se dit prêt à déclencher une grève générale illimitée s'il n'y a pas d'entente avec le gouvernement d'ici la fin de l'année.
Voyez le récapitulatif d'Alice Trahan dans la vidéo.