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En somme, les consommateurs boivent moins de ces bières, à Québec. Et les microbrasseurs blâment l’inflation.
L’alcool n’étant pas une nécessité, il est normal que la hausse du coût de la vie puisse affecter les ventes. De plus, notons que les bières de microbrasseries sont généralement plus dispendieuses.
Si ce n’est pas la fin du breuvage, une «sélection naturelle» forcera probablement la fermeture de plusieurs entreprises.
Voyez le reportage de Laurence Royer dans la vidéo.
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