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Ce mouvement, qui a pris naissance sur la plateforme TikTok, montre notamment des utilisateurs tenter de décourager les gens à acheter des produits de beauté qui ont précédemment été vantés par des influenceurs.
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Le mot-clic #deinfluencing cumule actuellement plus de 300 millions de visionnements sur la plateforme et continue de gagner en popularité.
Certaines personnes demeurent toutefois sceptiques face à cette tendance, qui ne serait qu’une tactique déguisée pour proposer des alternatives de produits populaires ou devenus viraux. En effet, sur une vidéo, on peut voir une utilisatrice vivement critiquer un produit de beauté et conseille les gens d’opter plutôt pour un produit d’une autre compagnie.
Le deinfluencing demeure-t-il de l'influencing, mais autrement?
Voyez le reportage de Milik Bélanger-Sévigny dans la vidéo.
«Avec tous les phénomènes viraux sur Internet, il y a des gens qui vont tenter de surfer eux-mêmes sur la tendance pour augmenter leur nombre de vues», a soutenu l’expert en marketing numérique, Simon Lejeune, en entrevue avec Marie-Christine Bergeron au bulletin Noovo Le Fil 17.
M. Lejeune estime que le deinfluencing est une forme de réaction à la saturation du marketing de l’influencing présente sur Tik Tok, mais également sur les autres plateformes.
Du côté de la réglementation, les gouvernements sont incapables de suivre le mouvement des technologies, explique l’expert. Il conseille de toujours vérifier dans la description d’une vidéo si la personne est commanditée pour produire un tel contenu.
Voyez l’entrevue intégrale dans la vidéo.