Rappelons que le programme de francisation est touché par plusieurs coupes budgétaires à travers la province. À Sherbrooke, 30 postes sont concernés.
«Maintenant, je ne sais pas ce que je dois faire», confie Olga Pyroh, une élève du Centre Saint-Michel rencontrée par Noovo Info. Elle est d'origine ukrainienne et professeure d'économie de formation.
«C'est un service essentiel pour ces gens-là qui arrivent, qui ont un vécu extrêmement lourd», soutient Marie Lagueux, une enseignante de francisation.
«On exige le français, on a des élèves qui veulent apprendre le Français mais là ce qui arrive, c'est qu'on leur enlève la possibilité.»
Voyez le reportage de Laurence Frappier dans la vidéo.