Passer au contenu principal
À voir:

Début du contenu principal.

Patrouille

Un délinquant sexuel relié à l'enlèvement d'un enfant en 2011 est recherché

La police a déclaré que Randall Hopley, 58 ans, avait été vu pour la dernière fois samedi à 15h et qu'il a des antécédents de condamnations pour voies de fait, crimes contre les biens et crimes sexuels, dont trois délits sexuels contre des enfants.

Le ravisseur d'enfants accusé Randall Hopley est emmené hors du palais de justice de Cranbrook, en Colombie-Britannique, le 14 septembre 2011.
Le ravisseur d'enfants accusé Randall Hopley est emmené hors du palais de justice de Cranbrook, en Colombie-Britannique, le 14 septembre 2011.

Source

La Presse canadienne
La Presse canadienne

Un délinquant sexuel à haut risque qui a enlevé un garçon de trois ans en 2011 est recherché en vertu d'un mandat d'arrêt pancanadien après avoir omis de retourner à sa maison de transition à Vancouver.

La police a déclaré que Randall Hopley, 58 ans, avait été vu pour la dernière fois samedi à 15h et qu'il a des antécédents de condamnations pour voies de fait, crimes contre les biens et crimes sexuels, dont trois délits sexuels contre des enfants.

Hopley a été reconnu coupable de l'enlèvement d'un garçon de trois ans en 2011 dans le sud-est de la Colombie-Britannique, ce qui a déclenché une recherche de l'enfant à l'échelle du Canada.

Hopley, qui a enlevé le garçon de sa maison familiale, a retenu la victime captive dans une cabane pendant quatre jours avant de le ramener apparemment indemne.

Hopley a purgé la totalité de sa peine pour cet enlèvement et a été libéré en octobre 2018, mais la Commission des libérations conditionnelles du Canada a déclaré en janvier que l'homme avait violé ses ordonnances de surveillance après avoir prétendument été surpris en train d'utiliser un ordinateur dans une bibliothèque publique – à moins d'un mètre d'un groupe d'enfants.

À l'époque, la Commission des libérations conditionnelles avait recommandé des accusations contre Hopley et déclaré qu'une ordonnance de surveillance à long terme était nécessaire, car il courait un risque élevé de récidive.

Source

La Presse canadienne
La Presse canadienne