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Selon Santé Canada, il n'existe actuellement aucun vaccin pour prévenir le virus respiratoire syncytial (VRS), «bien que plusieurs soient en cours de développement».
Pfizer Canada a annoncé vendredi que Santé Canada avait accepté d'examiner sa «présentation de drogue nouvelle» soumise pour son vaccin bivalent contre le virus respiratoire syncytial, qui a circulé beaucoup l'hiver dernier, surtout chez les tout petits.
Selon Santé Canada, il n'existe actuellement aucun vaccin pour prévenir le virus respiratoire syncytial (VRS), «bien que plusieurs soient en cours de développement».
Pfizer indique vendredi dans un communiqué que son vaccin est en cours d'évaluation pour l'immunisation des femmes enceintes, afin de prévenir les maladies des voies respiratoires inférieures, sévères ou non, causées par ce virus chez le nourrisson, «de la naissance jusqu'à l'âge de six mois».
La société pharmaceutique évalue aussi son vaccin pour l'immunisation active des personnes de 60 ans ou plus, afin de prévenir les maladies respiratoires aiguës et les maladies des voies respiratoires inférieures causées par ce virus.
Selon Santé Canada, aucun traitement particulier n'est disponible pour cette maladie infectieuse, mais «la plupart des enfants et des adultes en bonne santé se rétabliront par eux-mêmes en une à deux semaines».
Les symptômes associés au VRS, comme la fièvre et la douleur, peuvent être soulagés par des analgésiques en vente libre.
Le Canada a été touché l'automne et l'hiver derniers par une combinaison de ce virus respiratoire syncytial, de la grippe saisonnière et de la COVID-19. Ce cocktail d'infections respiratoires a même provoqué une pénurie d'analgésiques sur les rayons des pharmacies.