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Cela vise à mettre fin à la guerre à Gaza et à obtenir justice pour les Israéliens et les Palestiniens, selon le comité.
La décision des organisateurs du défilé de la Fierté à Ottawa de boycotter les entreprises israéliennes incite un nombre croissant de participants à se retirer des festivités.
Le comité de Fierté dans la capitale a condamné l'attaque brutale du Hamas l'automne dernier, mais a également accusé le gouvernement israélien de vanter son inclusion 2ELGBTQI+ pour détourner l'attention du carnage dans la bande de Gaza.
Le comité a approuvé une campagne de boycottage des entreprises israéliennes, qui vise selon lui à mettre fin à la guerre à Gaza et à obtenir justice pour les Israéliens et les Palestiniens.
Les groupes juifs ont déclaré que cette déclaration donnait à leur communauté le sentiment d'être exclue et en danger, ce qui a incité le maire d'Ottawa, Mark Sutcliffe, à dire qu'il ne participerait pas au festival d'une semaine.
Depuis lors, des groupes communautaires, des agences gouvernementales et des ambassades qui ont défilé dans le passé ont réfléchi à la possibilité de le faire ou non dimanche prochain.
Le réseau Fierté à la fonction publique, une organisation bénévole de fonctionnaires fédéraux, a déclaré qu'il ne serait pas présent au défilé cette année, affirmant qu'il se concentrerait plutôt sur des «événements inclusifs, sûrs et centrés sur les personnes».
L'ambassade d'Allemagne à Ottawa a accusé l'organisation Fierté dans la capitale de délégitimer Israël et a déclaré qu'il n'était pas inclusif de promouvoir un boycottage d'Israël.
D'autres groupes ont choisi de demeurer dans le défilé, comme le Réseau fierté des aînés d'Ottawa.