Le bénéficiaire, Brainbox, «utilise la technologie de l’IA autonome» afin d’optimiser la consommation énergétique des bâtiments, comme l’explique son président-directeur général, Sam Ramadori.
Mais l’IA est également utilisée dans des domaines où des questions éthiques et de sécurité se posent, notamment dans l’éducation, la création d’œuvres d’art ou la personnification.
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Le ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, Pierre Fitzgibbon, affirme être conscient des craintes concernant le développement de ces technologies. C’est pourquoi le ministre a annoncé qu'il souhaitait l’organisation d’une consultation sur l’IA, plus tôt cette semaine.
«S’il n’y a pas un cadre réglementaire serré, ça pourrait aller dans de mauvaises directions», a-t-il exprimé.
Voyez le reportage d’Étienne Fortin-Gauthier dans la vidéo.
