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L’équipe de l’organisme qui vient en aide aux femmes ayant subi tous types de violence a profité de l’arrivée des élèves de l’école Le Ber pour distribuer des dépliants et des autocollants informatifs.Cette mobilisation s’est tenue pour revendiquer un meilleur encadrement en violence sexuelle dans les écoles primaires et secondaires.
À l’échelle provinciale, cette Journée, qui se tient tous les troisièmes vendredis du mois de septembre, avait comme thématique «Essoufflées de crier!».
La porte-parole du CALACS, Kelly Laramée, soutient que les membres d’organismes partout à travers la province souhaitent que le gouvernement implante un processus rigoureux dans les établissements scolaires pour les jeunes qui subissent des violences à caractère sexuel.
«52% des demandes d’aide au CALACS, ce sont des moins de 23 ans. Donc je pense que si elles sont autant représentées dans les victimes et les demandes d’aide, ça serait peut-être bien qu’on les écoute et qu’on leur offre du soutien.»
Les intervenantes de l’organisme sherbrookois ont également pris part à une mobilisation à l’école secondaire Du Phare sur l’heure du dîner, vendredi.