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Le projet volontaire est mis de l'avant à Québec comme dans 200 autres municipalités de la province, et vise à donner un coup de main aux insectes pollinisateurs.
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Mais si la réaction a été assez vive sur les réseaux sociaux, sur le terrain, on a reçu peu de plaintes.
«En fait, les commentaires qu'on a eus, c'est qu'on devrait aller plus vite», a lancé Patricia Collerette, conseillère à la Division du développement durable Ville de Québec.
La Ville a organisé deux séances de formation sur l'entretien écologique des pelouses, qui se sont remplies rapidement, au point où la Ville a ouvert deux nouvelles dates.
«La pelouse va rester, mais la pelouse va changer», a expliqué Edith Smeesters, biologiste et conférencière en formation sur l'entretien écologique des pelouses. «Se battre contre les pissenlits, c'est se battre contre la nature.»
Voyez le reportage de Jean-Simon Bui ci-contre.