«C’est un chiffre énorme», constate Fatou Ramatoulaye Kante, coordonnatrice de la Fédération étudiante de l’UdeS.
Selon le sondage Leger, 27 % des étudiants à l’université au Québec affirment ne pas avoir les moyens de manger des repas équilibrés alors que 26 % d’entre eux affirment manger moins que ce qu’ils devraient.
On note également que 25 % des étudiants ont réduit leur portion ou sauté des repas afin de joindre les deux bouts.
L’Université de Sherbrooke affirme par ailleurs que l’an dernier, ce sont environ 730 étudiants et étudiantes qui ont demandé de l’aide alimentaire.
Moisson Estrie note aussi une augmentation du nombre d’étudiants qui sollicitent une aide financière auprès de l’organisme au cours des dernières années.
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