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Cela signifie que pour les jeunes du primaire et du premier cycle du secondaire, les épreuves vont compter pour 10% de leur note finale au lieu de 20% et que pour les élèves de 4e et 5e secondaire, les examens vont compter pour 20% au lieu de 50%.
La directrice du module d’éducation préscolaire et d’enseignement primaire de l'UQAC, Nicole Monney, était de passage au bulletin Noovo Le Fil Mauricie afin de faire le point sur la question.
«Les examens du ministère ne portent pas que pour une année, ils portent sur un ensemble d’années pour reconnaître que les élèves ont atteint les compétences attendues au terme d’un programme de 11 ans», rappelle Mme Monney.
Si l’année scolaire 2022-2023 a donc été «normale», il reste que les deux années précédentes n’ont pas été régulières. «On s’attend à ce qu’il y ait encore quelques difficultés par rapport aux épreuves cette année», admet Mme Monney.
Elle estime d’ailleurs que cette mesure a permis de voir davantage d’élèves graduer: «le fait de diminuer la pondération des épreuves a permis de maintenir un certain taux de diplomation.»
À la lumière de ces informations, la réussite des examens du ministère demeure-t-elle un indicateur pertinent pour la formation des élèves?
Pour l’entrevue intégrale, visionnez la vidéo liée à l’article.