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Des groupes ont d’ailleurs été mis sur pied afin de leur venir en aide.
Des enseignants ont même dû se tourner vers des banques alimentaires, où ils se sont fait refuser en raison de leur salaire, explique Geneviève Groleau, du groupe Entraide pour les profs en grève.
D’autres sont tombés en arrêt maladie tout juste avant le début de la grève.
«Les gens nous écrivent qu’ils sont anxieux, il y en a quelques-uns qui ont flanché avant parce que c’était trop anxiogène. Tant mieux s’ils ont réussi à aller chercher de l’aide et tant mieux s’ils ont préservé [une partie de leur salaire]», souligne Mme Groleau.
Voyez le reportage de Véronique Dubé dans la vidéo liée à l’article.