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Santé

«Nos policiers ne sont pas des machines»: les lésions psychologiques sont élevées chez les policiers du Québec

«Un son, une odeur, un simple élément visuel suffit parfois pour raviver un souvenir difficile.»

Environ 75% des policiers du Québec affirment avoir été exposés à des événements potentiellement traumatisants au moins une fois en carrière, si bien que le taux de lésions psychologiques serait 5,2 fois plus élevé chez les policiers que dans les autres professions, a révélé lundi l'Association des directeurs de police du Québec (ADPQ).