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Politique

La ministre Mélanie Joly participe mardi et mercredi à une réunion de l'OTAN

L’agenda de la ministre prévoit des entretiens avec des alliés et des partenaires de l’OTAN sur l’environnement de sécurité et les défis mondiaux actuels, de même que sur les priorités des dirigeants de l’Alliance en vue du Sommet de l’OTAN.

La ministre canadienne des Affaires étrangères, Mélanie Joly, est à Bruxelles mardi et mercredi afin de participer à la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’OTAN.
La ministre canadienne des Affaires étrangères, Mélanie Joly, est à Bruxelles mardi et mercredi afin de participer à la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’OTAN.

Source

La Presse canadienne
La Presse canadienne

La ministre canadienne Mélanie Joly est à Bruxelles mardi et mercredi afin de participer à la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’OTAN.  

L’agenda de la ministre prévoit des entretiens avec des alliés et des partenaires de l’OTAN sur l’environnement de sécurité et les défis mondiaux actuels, de même que sur les priorités des dirigeants de l’Alliance en vue du Sommet de l’OTAN, qui se tiendra en juillet. 

La ministre Joly et ses homologues tiendront aussi une réunion de la Commission OTAN-Ukraine avec Dmytro Kuleba, ministre ukrainien des Affaires étrangères, à propos des besoins de l’Ukraine face à la poursuite de l’invasion de la Russie. 

Les ministres des Affaires étrangères de l’OTAN rencontreront également des représentants des quatre partenaires de la région indo-pacifique de l’Alliance – l’Australie, la Corée du Sud, le Japon et la Nouvelle-Zélande – ainsi que de l’Union européenne (UE), afin d’aborder les priorités mutuelles en matière de sécurité. 

À lire égalementUn comité parlementaire en voyage en Europe estime que l'OTAN doit s'agrandir

Mardi, la Finlande sera officiellement accueillie en tant que membre de l'OTAN.

Par ailleurs, le Canada subit des pressions de la part de ses alliés de l'OTAN pour augmenter considérablement les dépenses canadiennes en défense, à 2 % de son Produit intérieur brut (PIB).

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La Presse canadienne
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