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«C’est un œil au beurre noir pour la LHJMQ. Il n’y a personne qui sort gagnant.» - Mikaël Lalancette
L’entraîneur-chef des Remparts de Québec, Patrick Roy, a accusé un entraîneur adverse d’avoir demandé à ses joueurs de tenter des coups vicieux contre ses joueurs.
Une querelle a ensuite éclaté entre M. Roy et l’entraîneur-chef des Cataractes de Shawinigan, Daniel Renaud.
Selon Mikaël Lalancette, collaborateur spécial pour Noovo Info, cette situation est une «tache noire» pour la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ), particulièrement à la suite de la conclusion de la commission parlementaire sur les abus dans le hockey mineur.
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«C’est un œil au beurre noir pour la LHJMQ, en pleine semaine de commission, que ces événements arrivent. Il n’y a personne qui en sort gagnant», a soutenu M. Lalancette en entretien avec le chef d'antenne Jean-Simon Bui au bulletin Noovo Le Fil Québec, vendredi.
Il est temps que la ligue se munisse de moyens afin de permettre l’imputabilité et ainsi éviter ce genre de situation, ajoute-t-il.
Voyez le segment intégral dans la vidéo ci-contre.
Récemment, M. Lalancette a participé à un reportage de Noovo Info concernant l’opinion du joueur le plus puni en une saison, Marc-André Roy, sur l’abolition des bagarres dans la LHJMQ. Selon l’ancien bagarreur, interdire les joueurs de se battre encouragerait la recrudescence des coups vicieux dans le sport.
De son côté, M. Lalancette estime plutôt que la ligue devrait mieux «encadrer les pénalités d’instigateurs».
Rédigé par Alex Sauro pour Noovo Info.