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«Nos jeunes ont des enjeux au niveau du sentiment d’appartenance, de la santé mentale et au niveau du sentiment de sécurité», soutient le directeur de la prévention de la violence arme au Centre de prévention de la radicalisation menant à la violence (CPRMV), Pierreson Vaval.
M. Vaval estime qu’avec des éléments anxiogènes, comme les réseaux sociaux et la technologie, la vie des jeunes est beaucoup plus complexe qu’elle ne l’était avant.
«Il faut qu’on se rapproche de nos jeunes pour mieux comprendre [...] et d’être beaucoup plus à l’écoute».
Ce contexte met de la pression sur les jeunes qui tentent de trouver une façon de réussir dans plusieurs facettes de leur vie, autant à l’école, à la maison qu’avec leurs amis.
Et malgré les aides financières aux organismes comme le CPRMV, on pourrait attendre encore longtemps avant de faire pencher la balance dans la bonne direction.
La situation en 2024 est le fruit d’années de mauvais encadrement auprès des jeunes, et «tant qu’il n’y a pas de changement à l’entour de nos jeunes, il n’y aura pas de changement chez nos jeunes», explique M. Vaval.
Voyez l’entrevue intégrale dans la vidéo.