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C’est la première fois qu’un groupe d’une telle envergure performera sur le site du Parc olympique depuis AC/DC en 2015.
Le retour de Metallica est le moment parfait pour démontrer que le Stade olympique est un arrêt incontournable en Amérique du Nord pour les artistes de renommée internationale, affirme le porte-parole du Parc olympique, Cédric Essiminy.
«Il faut rentrer dans le 21e siècle et attirer les gros noms de cette ère musicale», a-t-il lancé en entrevue, jeudi.
Alors que les grands groupes musicaux se sont arrêtés au Stade olympique au cours des dernières décennies, la mauvaise qualité sonore du stade a découragé les artistes de performer sur le site. «L’échos est vraiment particulier», admet M. Essiminy.
Mais en vue du concert de Metallica, le groupe mise exclusivement sur son propre système de son et non celui du Stade olympique, indique-t-on.
La dernière performance de Metallica au Stade remonte à 31 ans. Le 8 août 1992, le chanteur James Hetfield se brûle au deuxième degré avec une pièce pyrotechnique, mettant fin à la prestation du groupe.
Après deux heures d’attente, Guns N’Roses vient en renfort. Mais 40 minutes plus tard, le chanteur Axel Rose met fin au concert, ce qui soulève l’ire des spectateurs, qui ont déclenché une émeute historique.
M. Essiminy tient à rassurer les personnes qui seront présentes au Stade que ce genre de débordement n’arrivera pas.
Voyez le reportage de Juliette Poireau dans la vidéo.