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L’ouragan, qui a fait neuf morts jusqu’à maintenant, a eu des effets dévastateurs sur l’île où se trouvent plusieurs Québécois.
«Les arbres ont commencé à coucher par terre, on voyait des branches s’envoler», raconte le chef cuisinier basé à Kingston en Jamaïque Mathieu Masson-Duceppe.
Des quantités importantes d’eau ont réussi à s’infiltrer chez lui, mais il est tout de même soulagé, car la situation aurait pu être bien pire.
D’ailleurs, la Croix-Rouge canadienne a mis en place un fonds de secours pour venir en aide à ceux qui ont été touchés par la catastrophe naturelle.
«Ça peut prendre des semaines, voire des années, se remettre d’une épreuve comme ça», soutient la porte-parole de la Croix-Rouge, Stéphanie Picard.
En soirée, Béryl se dirigeait vers la péninsule mexicaine, un autre endroit où de nombreux Québécois résident pour les vacances.
Le capitaine responsable de la formation et emploi du Service de police de la Ville de Québec (SPVQ), Alain Bernier, a fait des provisions pour se préparer à la tempête. Il compte rester en sécurité dans sa chambre d'hôtel, suivant les instructions des locaux.
Heureusement, la force de l’ouragan devrait diminuer en catégorie 2 avant de toucher terre à Tulum, au Mexique.
Voyez le reportage de Juliette Poireau dans la vidéo.