Cet édifice servira de maison de deuxième étape pour loger des femmes et enfants, qui sont victimes de violence conjugale, pour des séjours de longue durée allant de trois mois à deux ans.
Cette ressource s’ajoute à la maison de première étape, qui offre un logement de courte durée pour les situations d’urgence. L’immeuble aura également une cuisine collective et deux bureaux pour les interventions.
Ce soutien financier permettra de répondre aux besoins criants sur le territoire. L’an dernier, l’organisme a épaulé 133 femmes. Selon la présidente du conseil d’administration, Stéphanie Marion, cette aide donnera aux femmes le temps nécessaire pour retrouver une stabilité dans leur vie.
Selon les données de la police de Trois-Rivières, le nombre de plaintes a augmenté au cours des cinq dernières années, passant de 330 en 2018 à plus de 600 l’an dernier.
Les cinq unités locatives seront disponibles à partir de décembre 2023.
Voyez le récapitulatif de Valérie Gendron ci-contre.