Mais les réseaux sociaux pourraient pousser certains jeunes adeptes à prendre des risques.
«Le principe même de l'urbex, c'est de rentrer dans un lieu et d’en sortir en n’ayant pris que des photos. Ça veut dire ne rien changer, ne rien déplacer, ne rien casser. Si la porte est barrée, techniquement, tu n’es pas censé rentrer», explique Jarold Dumouchel, qui a pratiqué l’exercice il y a plusieurs années.
L’adolescente décédée après une chute dans les ruines de l’ancienne usine Belgo à Shawinigan ne pratiquait pas nécessairement l’urbex, selon un membre de sa famille. Mais cette tendance pourrait malgré tout influencer les plus jeunes.
«Quand on a 15, 16 ans ou encore plus jeune, dans certains cas, le risque, tu ne le vois pas venir, tu es encouragé par tes amis», rappelle M. Dumouchel.
Voyez le reportage de Valérie Gendron.