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Parfois, les disparitions et les meurtres non résolus finissent par s'effacer du paysage de l’actualité. Après quelque temps, certaines familles baissent même les bras.
La mission de Meurtres et disparitions irrésolus du Québec (MDIQ) est d’offrir une certaine visibilité aux victimes.
«Le fait d’arriver avec une caméra et de relancer ça publiquement […] il y a l’opinion publique qui rentre en ligne de compte», a soutenu le président et fondateur de l’organisme, Stéphane Luce, en entrevue avec l’animatrice Marie-Christine Bergeron au bulletin Noovo Le Fil 17.
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M. Luce estime que la police pourrait en faire plus, particulièrement dans des cas comme celui de Mme Ferguson. Il aurait notamment souhaité que les enquêteurs vérifient périodiquement les lieux pertinents à sa disparition.
«Quand ça fait deux ans que tu n’as pas de nouvelles de Patricia, ça serait quoi de retourner sur les lieux? On peut quand même faire de quoi, mais je pense qu’on aurait eu plus de chances de le faire avant», a-t-il argumenté.
Voyez l’entrevue intégrale dans la vidéo.