Mais sur le terrain, cela fait déjà plusieurs années que les écoles autant publiques que privées doivent composer avec cette réalité, qui les oblige à serrer la vis aux élèves.
Certains intervenants des écoles privées de Québec qui ont déjà interdit les cellulaires en classe se disent même surpris de voir le sujet revenir dans l’actualité.
Voyez le reportage de Jacques-Alain Houle dans la vidéo accompagnant cet article.
«Ce n’est pas un débat pour nous. C’est quelque chose qui est déjà derrière nous, affirme le directeur général du Séminaire Saint-François, Luc Savoie. L’objectif est de développer de bons citoyens numériques.»
De son côté, le directeur général de l’école secondaire François-Bourrin, Jean-David Meunier, est d’avis qu’il faut surtout outiller les jeunes à avoir une bonne utilisation du cellulaire, qui les servira plus tard.
«Je pense que les jeunes découvrent à quel point c’est bénéfique de ne pas avoir leur cellulaire en tout temps et d’avoir des relations en direct avec leurs collègues», ajoute M. Meunier.
Pour le reportage intégral, visionnez la vidéo.