Seules les petites embarcations, comme les canots, les kayaks ou les planches à pagaie, pourront avoir accès au lac.
Magog évoque notamment des enjeux financiers, de sécurité et environnementaux pour justifier sa décision.
La Ville estime que la rampe de mise à l'eau a atteint sa durée de vie utile et qu'il ne serait pas rentable d'effectuer les travails nécessaires en raison notamment du faible achalandage des lieux. L’absence de station de lavage motive aussi la fermeture des lieux.
Une décision qui fait des mécontents dans la population.
«C’est un peu un prétexte, selon moi, pour privatiser le lac. C’est de ça que nous avons peur, les pêcheurs, et c’est un fléau au Québec», a affirmé Simon Joyal, guide de pêche en Estrie.
Les détails dans le reportage de Marc-Antoine Mailloux.