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Le prince Andrew, également connu sous le nom de duc d'York, a assuré avoir suivi les conseils du gouvernement.
Le tribunal semi-secret de l'immigration britannique a publié vendredi de nouveaux documents laissant entendre que le prince Andrew s'est lié à un espion chinois présumé parce qu'il cherchait désespérément à se refaire une réputation après une entrevue désastreuse accordée à la BBC en 2019.
La Commission spéciale de recours en matière d'immigration a publié la déclaration de l'assistant royal Dominic Hampshire, qui a aidé à organiser des rencontres entre le prince et l'espion présumé, l'homme d'affaires chinois Yang Tengbo. Cette déclaration, initialement tenue confidentielle, a été rendue publique par la commission à la suite d'appels de médias affirmant qu'elle était dans l'intérêt public.
«Après l'entrevue de Newsnight et au cours des mois qui ont suivi, il était clair que la réputation du duc était irréparable», a indiqué Dominic Hampshire dans la déclaration de témoin. Ce sentiment était partagé au sein de la famille royale, malgré les espoirs du duc.
«Il était très clair au sein de la famille royale que nous devions étudier les options possibles pour l'avenir du duc en dehors de ses fonctions royales», a-t-il ajouté.
Le prince Andrew, également connu sous le nom de duc d'York, a assuré avoir suivi les conseils du gouvernement et avoir rompu tout contact avec le ressortissant chinois dès que des inquiétudes ont été soulevées.