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Les organismes touchés sont l'Agence des Services frontaliers, Pêches et Océans, ainsi qu'Emploi et Développement social Canada.
Au moins trois fonctionnaires fédéraux se sont vu révoquer leur cote de sécurité secrète et top secrète depuis 2016 en raison d'allégations d'espionnage.
Les organismes touchés sont l'Agence des Services frontaliers, Pêches et Océans, ainsi qu'Emploi et Développement social Canada.
La nature et la sensibilité des renseignements qui auraient été divulgués à des gouvernements étrangers n'ont toutefois pas été précisés dans les documents divulgués.
Les réponses fournies le 29 mars dernier par différents ministères et organismes fédéraux faisaient suite à une question en ce sens posée par le député conservateur John Barlow.
Certains d’entre eux, comme le Service canadien du renseignement de sécurité, n’ont pas fourni de réponses à la demande ou l’ont fait de façon incomplète.
Affaires mondiales Canada a pour sa part mentionné que 11 employés avaient vu leur cote de sécurité révoquées depuis 2016, sans toutefois en préciser la raison.
Plus de 300 fonctionnaires fédéraux ont eu leur cote de sécurité révoquées pour diverses raisons depuis 2016.
Services publics et Approvisionnement Canada, Emploi et Développement social Canada et l’Agence du revenu du Canada sont les ministères qui ont révoqué le plus de cotes de sécurité depuis 2016.
- D’après un reportage de CTV News