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Pour plusieurs enseignants, comme Sylvain Dancause, qui enseigne à l’école secondaire de La Courvilloise, ce retour à l’école se fait avec des «sentiments partagés»
«J’étais très heureux de revoir mes élèves», exprime M. Dancause. Toutefois, «il y a une certaine amertume par rapport à ce qui s’est passé, par rapport au fait que ç’a duré cinq semaines.»
Il exprime une certaine «rancœur» envers les centres de services scolaires, et il se désole de la durée des négociations avec le gouvernement. M. Dancause s’inquiète également pour le futur de sa profession.
«Le combat pour nos conditions de travail s’est transformé en un combat pour l’école publique», estime-t-il. Et la signature de la convention collective n’annonce pas la fin de ce «combat».
Voyez l’entrevue intégrale dans la vidéo.