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Selon la présidente de l’Ordre des psychologues du Québec, la Dre Christine Grou, l’hypnose est utilisée «depuis fort longtemps».
«Avant, c’était plus sondé vers la théorie. Aujourd’hui, on est plus dans des approches fondées sur des données probantes qui ont fait l’objet de démonstrations empiriques», a-t-elle expliqué.
La Dre Grou a affirmé que l’hypnose est présentement utilisée par les médecins et par certains dentistes dans la gestion de la douleur.
Noovo Info a donc décidé de tester cette méthode de plus en plus suggérée, notamment afin de traiter l’angoisse, les troubles de sommeil ou le deuil.
Le journaliste Emmanuel Leroux-Nega est allé à la rencontre du directeur du Centre canadien d’hypnose humaniste, Danny Labrecque, qui a expliqué qu’une séance se fait en quatre étapes:
«Quand on rêve, c’est notre inconscient qui communique avec nous. L’hypnose, c’est le chemin inverse. Notre inconscient prend le relais pour amener ça dans notre quotidien», a expliqué M. Labrecque.
L’hypnose permettrait également de «mieux gérer ses craintes et ses peurs», a-t-il ajouté.
Afin d’obtenir un excellent service d’hypnose, M. Labrecque mentionne que la personne qui fait le traitement doit avoir 1000 heures de formation.
«Il faut voir quelqu’un de compétent. L’hypnose ne s’apprend pas du jour au lendemain», a conclu la Dre Grou.