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En raison des chaudes températures de l’automne, les producteurs ont dû mettre fin à leur coupe plus tôt que prévu pour éviter que les arbres deviennent trop secs. Eux aussi font face à l'inflation, alors que les coûts pour la main d'œuvre, l'essence et l'engrais, par exemple, ont tous augmenté.
L’inflation et la pénurie de main-d’œuvre n’épargnent pas l’industrie de l’arbre de Noël. Non seulement le prix des sapins naturels a augmenté dans les dernières années, mais ils sont également moins disponibles.
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Ce n’est pas tous les commerçants qui offrent des arbres de Noël naturels. Par exemple, dans plusieurs supermarchés, magasins grande surface et quincailleries de Saguenay, on ne sait toujours pas s’il y aura un inventaire.
Pour le propriétaire de la pépinière, Borialis de Jonquière, un des rares détaillants qui aura un inventaire de sapins naturels, les deux prochaines fins de semaine sera très achalandée.
«D’habitude dans le dernier week-end de novembre et le premier de décembre sont nos plus occupés. Normalement, on vent trois ou quatre sapins par jours, mais dans les dernières années, ça se vent à coup de centaines», a dit Mathieu Ouellette, le propriétaire de la pépinière Borialis.
Voyez le compte-rendu de Jade Laplante ci-contre.