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La témoin de l’accident a voulu prêter assistance à la fillette, mais également à son frère et à sœur qui étaient sur les lieux.
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«Ils étaient terrifiés. Ils ne comprenaient pas ce qui se passait et ils ne savaient pas si leur sœur était en vie, a confié Mme Dorleans à Noovo Info, mercredi. Donc, on a essayé de les rassurer et on était vraiment là pour les aider en première ligne et d’être présents pour eux.»
La dame raconte avoir emmené les membres de la famille chez sa voisine pour qu’ils ne voient pas les manœuvres de réanimation sur leur sœur.
La fillette a été transportée à l'hôpital. Son décès a ensuite été constaté quelques heures plus tard.
«C’était horrible. Quand le médecin était là, on avait quand même espoir, on avait entendu que son cœur était reparti. On priait fort pour elle, on espérait qu’elle soit en vie», a ajouté Mme Dorleans.
La témoin dit avoir contacté l’école, qui a pris le relais afin de rejoindre la mère de la victime. Un médecin et des employés du CLSC tentaient alors de maintenir la jeune réfugiée ukrainienne en vie.
À la suite de cet évènement «traumatisant», Mme Dorleans souhaite que des mesures soient prises afin qu’il y ait «plus de respect des règles de sécurité routière» et qu’il y ait une collecte d’argent afin de soutenir la famille de la victime.
«Rien ne pourra réparer la perte d’un enfant, mais qu’on arrive à apporter du réconfort et de leur montrer qu’on est là pour eux, ça serait important», a-t-elle lancé.
À voir dans la vidéo.
Crédit photo: Noovo Info