Début du contenu principal.
Lucie, Roxanne et Cindy souhaitent faire connaître les différents types d’accompagnements qu’elles offrent, que ce soit en fertilité, à la naissance, en postnatal, à l’interruption de grossesse et en deuil périnatal.
«La naissance, nous avons beau planifier tout ça, c'est vraiment une surprise. Après, il y a le postnatal qui arrive et on nous dit "bonne chance". À mon sens, c'est là que le marathon commence et ça prend du soutien», affirme Lucie Morin, doula postnatale.
Bien que les doulas — connues aussi sous le nom d'accompagnante à la naissance — ne soient pas des professionnelles de la santé (contrairement aux sages-femmes), elles doivent suivre une formation complète d’environ 450 heures.
De son côté, Cindy Pétrieux, doula féministe à la naissance et présidente l'AQD, milite aussi pour augmenter l'information et la sensibilisation sur la question des violences obstétricales et gynécologiques.
«Tu as beau être médecin ou infirmière, ce n'est pas parce que tu mets ta blouse blanche et que tu entres dans l'hôpital que tu mets de côté tes préjugés de sexisme, de grossophobie, de racisme ou de transphobie [...]», estime-t-elle.
Les détails dans la vidéo.